Elle était belle, aussi belle que le reflet de la lune quand elle caresse les glaciers. Elle était amoureuse de l’homme chien, gentil et doux. Mais pas assez bon chasseur, alors son père n’en a pas voulu. Il l’a chassé.
S’en sont suivi un puis deux puis trois prétendants. La jeune femme, blessée au point d’avoir le cœur sec, les repoussait, l’un après l’autre. Jusqu’au jour morne…
Oeuvre où le graphisme prend le pas sur les mots, Nerrivik conte la naissance d’une déesse cruelle. La mine claire s’amuse entre blanche banquise et mer en tempête. Un délice pour les yeux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire